dimanche 14 mars 2010

Jamais trop tard pour changer

Michigan, États-Unis d’Amérique, le 7 février 2010.
Enseignant Ophélius.
Sujet : « Jamais trop tard pour changer. »
Reçu par Chris.
Ophélius : « Combien de fois avez-vous entendu ou dit, ‹ C’est simplement comme je suis. J’ai toujours été ainsi, et je ne peux pas changer › ? Ceci est une phrase rationalisée, et une excuse pour un comportement paresseux. Toutes choses avec le temps doivent changer, et toutes viendront à la lumière ou elles deviendront irréelles et disparaîtront. Il n’y a que deux genres d’êtres humains : Ceux qui font la volonté de Dieu, et ceux qui ne la font pas, et ceci n’est pas une question de qui est un pécheur et qui est un saint. Non, ceux qui choisissent de stagner ou d’éviter la volonté du Père sont comme des souris dans un labyrinthe. Ils flânent sans but au long des impasses, tandis que les jours de leurs vies passent rapidement, sans qu’ils progressent véritablement, ou s’approchent davantage de la sortie qui mène à la vie éternelle. Ils regardent sans cesse en arrière vers leurs ‘jours glorieux,’ comme un moment de leur vie où il y avait une lueur de progrès et une direction en avant, après quoi la peur et les circonstances les ont éventuellement éloignés, et dans le labyrinthe de l’existence mondaine et des poursuites matérielles qui les ont laissés insatisfaits, et leurs âmes appauvries.
« Ces ‘enfants perdus’ ne sont pas vraiment perdus, car ils ne font que se couvrir d’un voile d’irréalité, qu’ils croient être l’abandon des soins divins, alors qu’en réalité Dieu est toujours là pour leur montrer le chemin. Ils sont les seuls qui font semblant de ne pas voir. C’est plus facile de se retourner et de rester sous les couvertures chaudes de l’indécision que de se lever et d’affronter la vérité et à la réalité – d’écouter la voix de leur Occupant. Pourtant ils choisissent de noyer la voix du divin, et de laisser la voix des chefs de ce monde leur dire quoi penser et comment se sentir. Pour ceux-là, seuls les dures leçons et les événements tragiques peuvent les forcer à l’attention.
« Il n’est jamais trop tard pour changer, mes bien-aimés, car vous pouvez, dès maintenant, aujourd’hui, vous arrêter et prendre une décision qui peut changer qui vous étiez en qui vous êtes appelés à devenir. Quand vous venez finalement à la réalisation que vous vous étiez perdus dans le labyrinthe, vous pouvez demander à Dieu de vous guider pour vous en sortir et pour aller sur les chemins de la vertu qui mènent à la vie éternelle. Cependant, votre décision d’accepter la direction divine doit être faite avec sincérité et une intention véritable, car Dieu n’est pas un génie venu pour vous sauver du péril et ensuite vous laisser tomber de nouveau dans vos vielles habitudes quand les eaux se calment.
« Prenez la décision de changer et permettez à Dieu de lutter à vos côtés dans les batailles de votre vie. Ouvrez-vous et permettez à son amour de couler à travers vous et dans les autres. Ce n’est qu’en faisant la volonté de Dieu que vous pouvez connaître le vrai bonheur et éprouver la joie de vous pardonner à vous-mêmes et de vivre sans crainte. Pour recevoir de l’amour et de la miséricorde, on doit montrer de l’amour et de la miséricorde, car c’est le chemin vers la vie éternelle et l’appartenance à la famille de Dieu.
« Paix,
« Le Cercle des Sept. »
Traduit par Véronique Hubert-Harris et Philippe Pilette.
© Le Groupe De Progression Des 11:11.
« Le don de soi, l’illumination de la vérité, et l’apaisement des souffrances
sont les chemins les plus nobles vers une conscience plus élevée. »
Enseignant Ophélius – 2009.

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